Théâtre de l'Ours

Site d'information du Théâtre de l'Ours, création contemporaine de théâtre, avec en particulier le travail sur les dernières années d'Oscar Wilde

La Ballade vue par Stéphane Merveille

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Critiques 2009

 

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« Jean-Paul Audrain, inconnu de nous, ressuscite Wilde. Cela tient du miracle. Se peut-il qu’un acteur aussi virtuose et sensible, capable d’insuffler une telle vie à des mots jetés sur le papier voici cent douze ans, nous ait échappé ? ».

Jacques Nerson (Sem du 23 au 29 avril 2009)

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Fig Mag + Etoiles

 

 

 

« Un texte poignant et fort. Jean-Paul Audrain est vraiment étonnant. Du grand art ».

Jean-Luc Jeener  (2 mai 2009)

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« En Grand acteur, Jean-Paul Audrain mêle la révolte et la résignation, l’amour et détachement, le désespoir et l’espoir. Tout à fait bouleversant ». 

Gilles Costaz  (N°1060 du 9 au 16 juillet 2009)

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Pariscope

« Une mise en scène d’une intense sobriété. On aime les images poétiques que Grégoire Couette-Jourdain a discrètement apportées ».

Dimitri Demorme  (Sem du 22 au 28 avril 2009)

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Figaroscope

« Le texte est magnifique. On est au cœur de l’homme et de sa souffrance »

Jean-Luc Jeener   (Sem du 8 avril au 15 avril 2009)

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Logo La Terrasse

« Un cri d’amour tour à tour retenu et expressif, pudique et énergique »

Manuel Piolat Soleymat  (N° spécial de juillet 2009)

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Logo Vaucluse Matin

 « Seul sur scène, Jean Paul Audrain réalise une performance extraordinaire avec ce texte remarquablement adapté et mis en scène par Grégoire Couette-Jourdain.

Marie-Félicia Alibert  (10 juillet 2009)

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Logo Culture Cie

« Le texte magnifique d’Oscar Wilde est sublimé par Jean-Paul Audrain qui vit chaque mot et en décortique toute la substance dans un jeu d’une précision inouïe ».

Franck Bortelle  (21 avril 2009)

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« Dans une scénographie épurée aux lumières travaillées qui évite le réalisme naturaliste (…), Jean-Paul Audrain porte magistralement le verbe d’Oscar Wilde ».

Martine Piazzon  (Avril 2009)

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Logo Rue du Théâtre

« La prestation très incarnée que nous livre Jean-Paul Audrain (…) nous renvoie très justement à l'essence même des mots et leur élévation. C'est là toute la magie et la force de ce spectacle ».

Amaury Jacquet  (19 juillet 2009)

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Logo les 3 coups

« Cette histoire d’homme brisé, qui veut que l’amour domine malgré tout en lui, nous offre une belle leçon d’espérance. Et le Théâtre de l’Ours un moment lumineux de théâtre ». 

Olivier Pradel  (23 juillet 2009)

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Logo La Provence Web

« Jean-Paul Audrain donne à Wilde une réalité, une épaisseur, une humanité et une dignité qui sont un bel hommage à l’auteur ».

Alain Pécoult  (21 juillet 2009)

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Logo Avinews.com

« Le jeu est juste et beau, le texte magnifique et la mise en scène nous plonge dans une intimité fragile mais subtile. »

Colin   (23 juillet 2009)

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Biographie d'Oscar Wilde

Biographie d'Oscar Wilde


WildeOscar Wilde est né en Irlande et devint très jeune une référence dans la littérature britannique. Tout lui sourit ; ses pièces sont des succès, ses essais et nouvelles bien accueillis et l’argent afflue.

 

En 1891, il aide un jeune étudiant d’Oxford qui se « trouvait dans une fâcheuse position d’un caractère tout particulier ». Deux ans plus tard, il entame une relation avec lui, Lord Alfred Douglas (Bosie), fils du Marquis De Queensberry.

Le père, membre de la chambre des Lords, ne voit pas cette relation d’un très bon œil ; et surtout, il a besoin de voir son nom réapparaître dans les journaux avec un rôle entièrement nouveau : celui du père affectueux défenseur de la pureté et de la moralité, protégeant son fils des assauts de l’artiste pervers et dépravé. Il cherche à provoquer un scandale public en harcelant Wilde. Il va même jusqu’à tenter d’interrompre une représentation afin de ruiner son auteur.

C’en est trop pour Wilde. Il riposte et attaque en justice le Marquis de Queensberry pour diffamation...

Et Wilde perd le procès.

La loi anglaise, à cette époque, ne badinant pas avec l’homosexualité, il est condamné à deux ans de travaux forcés.

Durant ces deux années d’emprisonnement, il est déclaré publiquement en faillite, sa mère meurt, sa femme divorce, ses enfants lui sont retirés par décision de justice... Il a tout perdu, même son nom, puisqu’il est le prisonnier C 33. La seule chose qui l’empêche de se suicider, c’est le sentiment d’humanité qu’il découvre en prison et une longue lettre qu’il écrit à Bosie : Le De Profundis.

Le 18 mai 1897, il est libéré. Il se réfugie en France sous le nom de Sébastien Melmoth, en référence à Saint Sébastien et aux flèches qui étaient cousues sur le coutil des forçats de Reading.

En 1898, il écrit la Ballade de la Geôle de Reading, long poème retraçant l’exécution d’un condamné et les conditions de détention à Reading. Faute de trouver un éditeur, elle ne rencontrera qu'un maigre succès critique à sa parution.

Il meurt en 1900 à Paris, dans la solitude et la misère la plus complète.

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